Le troisième bassin, un projet bien nébuleux malgré les nombreuses présentations et réunions auxquelles nous avons pu participer ces derniers mois.

Un article publié sur le site "Avenir & Traditions pour Saint-Tropez" nous est apparu comme susceptible d'intéresser nos lecteurs. L'explication est claire, les photos présentées et les projections des différents projets modifiés depuis  son lancement nous semblent répondre au flou artistique enrobant jusqu'à ce jour ce troisième bassin. Nous ne pouvons que vous inciter à consulter cet article.

Lors de l'assemblée générale de l'association pour la protection des sites de la Moutte, des Canoubiers et des Salins, M. Jean-Michel Couve s'est  exprimé au sujet de la vidéo-surveillance.

Notre maire a déclaré:" Nous n'avons pas envie qu'il y ait des caméras dans les rues, car les rapports démontrent que la vidéo-surveillance dans le coeur des villes n'entraine pas plus de sécurité. Placer des caméras à la sortie ne paraît pas judicieux non plus. En effet les voitures utilisées par les malfaiteurs pour faire un mauvais coup sont, dans  98% des cas, des voitures volées. En revanche il y aura bien des caméras sur le parking."

C'est un avis qui se défend, mais que nous ne pouvons pas partager, sauf si la présencede la police et des gendarmes se faisait plus attentive et plus répréssive sur le terrain. En effet nous n'avons jamais vu autant que cet été un incivisme aussi débordant.

Que ce soit les deux-roues qui font la loi sur les places, les ruelles déjà encombrées par les terasses de restaurants et autour des réceptacles à ordures qui deviennent de ce fait innaccessibles aux riverains même aux plus jeunes; le nombre de plus en plus important d'hommes et encore plus que l'an passé de femmes qui urinent et défèquent dans nos ruelles sans la moindre vergogne, hurlent et vomissent à 5h du matin en se rendant aux "after", phénomène nouveau qui ne rend pas seulement les sorties de boîtes insupportables mais pour le coup la nuit entière.

En ce qui concerne le "En revanche il y aura bien des caméras sur le parking", nous sommes consternés d'apprendre qu'à ce jour dimanche 19 août 2007, nous avons passé l'été sans surveillance sur le parking, malgré la construction de la maison en bois sur le port construite à cet effet et qui elle-même n'est pas terminée et toujours entourée de gravats.

On ne sait plus que penser, que croire, qui croire dans la gestion de notre si joli petit village, malgré les promesses verbales données de-ci de-là lors des rencontres fortuites avec le Maire ou ses adjoints, toujours prêts à faire quelque chose pour répondre aux demandes ,  qui ne sont jamais suivies d'effets.

Lettre d'un marin publiée dans Var-Matin du dimanche 5 août 2006.

Francis Carré, exprime son opinion sur le projet du 3ème bassin et la chasse faîte au mouillage libre.

" A tous les détracteurs du monde marin et à ses opposants, je revendique le droit de vivre une passion et un métier dans la dignité et le respect des concitoyens qui m'entourent. Je ne veux pas me différencier du commun des mortels mais simplement revenir sur des propos récurrents, outrageants à l'égard des gens de la mer; marins, porteurs de traditions ancestrales.

Ces traditions reposent sur des bases simples qui sont: la capacité de se mouvoir librement et de manière autonome, l'esprit d'entraide, le respect de l'environnement. Pour ce faire, il est nécessaire que ces principes ne soient pas entravés par des considérations diverses: mercantiles, pseudo-écologiques, vindicatives comme cela apparaît dans les articles discriminatoires traitant du mouillage libre.

Serais-je un sauvage hurluberlu, chevelu, palmipède, plus communément nommé marin, qu'il faille exterminer à toute fin et sans plus attendre? Peut-être? Mais dans ce cas et pour mieux accepter la sentence, j'aimerais que l'on m'explique pourquoi il est donné plus de crédit à la construction d'un troisième bassin dans le nouveau port afin d'accueillir la grande plaisance, alors que diverses infrastructures en place de la ville sont à peine capable d'offrir des toilettes, des bancs, des parkings, des informations correctes aux gens de passage?

Pourquoi justifie-t-on l'interdiction au mouillage dans des zones primordiales à la sécurité de nos modestes embarcations, sous prétexte de préserver des algues en voie de disparition, alors qu'elles sont vouées à une destruction massive par cette même entreprise?

Le golfe de Saint-Tropez est un endroit magnifique qui, à la base, tient son essence de la mer. Les gens  qui vivent de la mer et la respectent, pêcheurs, voyageurs doivent y être accueillis dignement et doivent pouvoir jouir de cet espace librement et gratuitement parce que c'est un espace public.

Quelle place est réservée à l'avenir au petit port du Pilon et à ses figures locales qui sont porteuses de l'histoire du village?

Le golfe de Saint-Tropez ne saurait être qu'une marchandise. Les priorités, pour  sa sauvegarde, seraient de traiter les immondices flottant à la surface des eaux portuaires de la municipalité, de mettre fin au déversement quotidien de fioul, qui pose un réel problème de pollution, de santé publique, et occasionne des odeurs nauséabondes dans la ville."

Source Var-Matin.

Le week-end dernier à Saint-Tropez entre 3 et 6 heures du matin, un conducteur contrôlé sur deux  était en état d'alcolémie au volant, 57 procédures  de conduite en état d'alcoolémie ont été dréssées.

Un petit rappel des sanctions:

• En cas de présence de 0,8 à 1 gramme d'alcool par litre de sang, le conducteur  s'expose à une suspension de  permis de conduire de 45 jours, il est immédiatement placé en garde à vue et son véhicule est immobilisé.Il doit par ailleurs se soumettreà une consignation de 750 à 1 500 € et les parquets de Toulon ou de Draguignansont alerté.
• Si son imprégniation alcoolique est comprise entre 1,01 gr et 1,5 gr par litre de sang, la sanction est de 3 mois  de suspension de permis.
• Si le taux dépasse 1,51 gr, 6 mois de suspension de permis sont prévus par la loi.

Il faut ajouter la perte de 6 points de permis pour "conduiteen état d'alcoolémie".
Si le taux relevé au moment du contrôle est supérieur à 0,40 gr, la rétention du permis est immédiate avant que la justice ne décide d'une future suspension.

Voilà de quoi réfléchir!

Leader mondial des bateaux open de grand luxe avec 80% du marché surtout dans le bassin méditerranéen et aux Etats-Unis, le groupe Rodriguez vend du rêve. Comme l'an passé, le port à été investi en quasi-totalité par le groupe; les quais, les trottoirs et une bonne partie de la voie ont été complètement réservés à cette manifestation, ne laissant aux piétons que bien peu de place, l'autre partie de la rue étant anarchiquement utilisée par les deux-roues motorisés circulant dans tous les sens. Un vrai parcours du combattant pour le piéton qui n'est définitivement plus heureux à Saint-Tropez.

Le groupe Rodriguez, dont les yachts trônent dignement dans les ports chics de Monaco, Cannes, Saint-Tropez, Marbella, Ibiza, etc. a toutefois attiré les touristes badauds émerveillés, espérant apercevoir une princesse, un acteur ou un sportif connu.

Le rendez-vous Rodriguez est réservé aux propriétaires fortunés et clients milliardaires des bateaux de grande plaisance de la série "Mangusta". Cette clientèle triée sur le volet avait seule le privilège d'entrer dans le vaste décor installé tout spécialement pour la présentation du dernier modèle de la série. Pour clôturer la soirée les invités et les pauvres badauds ont pu admirer un superbe feu d'artifice d'une vingtaine de minutes surpassant de loin tous les feux d'artifice de 14 juillet que Saint-Tropez ait pu connaitre, feu longuement salué par les cornes de brume de tous les bateaux présents dans le port et dans le Golfe.

Dans son secteur, Rodriguez a très peu de concurrence. Outre une avancée technologique incontestable, il confie la fabrication de ses bateaux à des chantiers sur lesquels il a l'exclusivité de la production. Les "open", pour des vacances ensoleillées, sont conçus en Italie et distribués sous les gammes Léopold et Mangusta, et les "fermés" (Cabin Cruiser) en Espagne avec la gamme Astondoa.
Rodriguez déploie aussi son activité dans la vente de bateaux d'occasion et d'articles liés à la navigation de plaisance, notamment vêtements et matériel électronique, et dans la prestation de services, réparation, location de places de port, mise à disposition d' équipages.

Ce groupe verrait d'un très bon oeil la construction du 3ème bassin, surtout si l'on considère  les toutes dernières modifications apportées au projet annoncées par M. le Maire lors de la dernière réunion de l'ASAC, à savoir que la grande plaisance occuperait finalement le 2ème bassin, actuellement  appelé nouveau port et reservé jusque-là à la petite et moyenne plaisance, et non le troisième bassin face au Pilon, comme prévu dans le projet initial.

La synagogue de Saint-Tropez, voir notre article du  7 juillet 2006 déménage.

Donc voici une petite mise à jour, les offices auront lieu avenue du Général Leclerc, face à la station  d'essence du  Pilon le vendredi à 19h 30 et le samedi à 10h.
Pour toutes informations complémentaires téléphoner au: 06.20.60.72.58.

Le plan d'aménagement du 3ème bassin vient d'être présenté aux Tropéziens avec déjà de nouvelles modifications, à savoir, pour le principal, "la pince de crabe" à été revue et corrigée pour un bassin plus conventionnel, les bateaux de grande plaisance devraient s'installer dans le 2ème bassin (nouveau port actuel, avec bien sûr la démolition de tous les agencements effectués non sans bruit durant l'hiver 2005-2006) et les plaisanciers actuels du nouveau port seraient déplacés dans le futur troisième bassin, ce qui les éloignerait encore du centre du village alors que pour certains ils sont là depuis plus de 35 ans.

A l'occasion de cette présentation, les allusions à l'héliport sur terre ou sur mer ont été pratiquement passées sous silence, sans doute pour nous réserver une nouvelle surprise de choc, au moment où partout dans le Golfe se lève un bouclier de protestations contre les nuisances sonores des hélicoptères.

Les riverains du Bourrian dans la plaine de Gassin envisagent avec M. Michel Perrault (contact: 06 09 68 59 47 ) de mener une action si une solution n'est pas trouvée rapidement.

Dans une lettre adressée à M. Yvon Zerbone, le maire de Gassin, M. Michel Perrault dénonce:
" Le week-end du 14 juillet plus de 200 mouvements d'hélicoptères ont été constatés. Parfois, plus de trois appareils étaient au sol, l'amplitude horaire est bafouée avec des mouvements dés 7 h du matin jusqu'à 21h30. La compagnie de gendarmerie de Saint-Tropez contactée pour un dépôt de plainte m'a encouragé à faire moi-même les photographies des appareils et des véhicules de transport. Ce qui est assez original comme démarche. Je souhaite que vous puissiez alerter de votre côté le sous-préfet du non-respect des règles fixées par l'aviation civile sur le seuil de 200 mouvements par an ou 20 mouvements par jour. Il serait anormal que quelques privilégiés puissent pourrir la vie de dizaines de Gassinois... Il va sans dire que je ne crois pas à une charte de bonne conduite quand tant d'enjeux financiers sont engagés. Seul l'arrêt immédiat de cette hélisurface est envisageable".

Il faut savoir que par arrété préfectoral l'utilisation de toute hélisurface à Saint-Tropez, Ramatuelle et Gassin est soumise à une double restriction:
Un nombre maximum de 10 mouvements journaliers pour un nombre de mouvements annuels inférieur à 200.
Tout mouvement est interdit en dehors des créneaux horaires 10h-12h et 17h-20h.
Un atterissage et un décollage constituent deux mouvements.
Pour les opérateurs aériens n'adhérant pas à la charte de bonne conduite du 30 juin 2006, l'utilisation de toute hélisurface sur les trois communes est en plus soumise à l'interdiction de tout mouvement en dehors du créneau horaire 17h-20h.
On peut constater chaque jour que ces règles ne sont pas respectées, sans parler du survol du village à basse altitude qui en plus des nuisances sonores représente en soi un certain danger.

Une autre association "Halte Hélico" existe à Cogolin quartier de Font-Mourier. Son président M. Jean-Claude Mohlo et quelques 500 copropriétaires des communes de Gassin et Cogolin , face à l'inertie des autorités, envisagent une action spectaculaire en occupant le terrain et en barrant la route qui mène à Saint-Tropez.

Doit-on en arriver là pour que les habitants du Golfe puissent se faire entendre?

Source: Var-Matin du 25 juillet 2007.

Un  grand coup de chapeau à la police municipale qui a enfin commencé à verbaliser des motos pour stationnement illégal sur le trottoir; il était vraiment temps car trop c'est trop!

Un endroit où il serait bon de verbaliser: la deuxième partie de la rue des Charrons entre la rue Allard d'un coté et le quai Gabriel Péri et la rue Henri Seillon de l'autre. Cette partie de ruelle déjà encombrée par les poubelles indispensables, est envahie à temps plein par des deux-roues le plus souvent ceux des commerçants voisins, glacier et restaurants.
La fréquentation en devient dangereuse et impraticable, alors que cette portion de ruelle donne sur un passage piéton matérialisé occupé, lui aussi par des deux roues, la tête de la station de taxis, la nouvelle place Grammont piétonne et le quai de l'Epi. C'est un passage stratégique qui devrait rester accessible aux pauvres piétons qui n'ont plus guère droit de cité dans le village.
Faute de civisme, une petite surveillance de la police municipale et quelques véhicules verbalisés, pourraient rendre la vie bien plus agréable aux riverains, aux peintres du port qui doivent rivaliser d'ingéniosité pour passer avec leur matériel, aux livreurs, aux visiteurs de la Maison des papillons et aux touristes nombreux eux aussi à emprunter ces quelques mètres de ruelle.

Un deuxième  coup de chapeau à notre police municipale pour son action sur le marché aujourd'hui. Malgrè la foule estivale, c'est avec plaisir que l'on a retrouvé une avenue Augustin Grangeon où l'on peut passer avec cabas et poussettes, discuter avec ses commerçants... La vie presque normale de notre sympathique marché.

Une mention spéciale aux policiers municipaux qui ont empéché les voitures de stationner le long du boulevard Vasserot avec un flegme exemplaire  malgré les réflexions et quolibets à leur encontre.

En espérant que ce n'est pas une action une fois en passant , mais une opération qui se répètera tout l'été sur notre beau marché tropézien.

Navigation de plaisance Saint-Tropez veut plus de milliardaires.

La vie de milliardaire a ses contingences insoupçonnées. De Ponte Cervo à Monaco, on doit galérer pour amarrer son yacht et s'entasser comme vulgaires barcasses. Le nombre des grands yachts (plus de 24 m) devrait doubler d'ici à 2010, et un quart d'entre eux, soit 2 000 unités, cabotent en Méditerranée. Les ports capables de les accueillir ne suivent pas. C'est la crise, si l'on ose employer ce mot. Saint-Tropez lorgne le marché. La mairie doit dévoiler, jeudi 19 juillet, le projet d'un troisième bassin (d'un coût d'environ 100 millions d'euros, selon une première estimation), qui serait dédié à ce qu'on nomme pudiquement la "grande plaisance".

Ce plan d'eau permettrait l'hivernage d'une cinquantaine de yachts et de leurs équipages, qui peuvent atteindre une douzaine de personnes. Il serait bordé d'une zone dédiée à l'entretien. Une aire d'atterrissage pour les hélicoptères permettrait un accès facile aux propriétaires. Le maire de la ville et député (UMP) du Var, Jean-Michel Couve, défend son projet, qui s'inscrit dans une vaste reconfiguration de la façade littorale. Son but : "Attirer les gens à très fort pouvoir d'achat", surtout hors saison. "Les gens se sédentarisent de plus en plus à Saint-Tropez. Il n'y a pas que la jet-set ou les vedettes. Vivent ici également des patrons de société. Des contrats d'affaires se nouent entre ces chefs d'entreprise." En proposant ponton pour le bateau mais aussi ouverture de boutiques de luxe, l'élu souhaite pérenniser l'activité sur l'année et ne plus se contenter de la frénésie estivale. "Saint-Tropez ne doit pas être un mini-Cannes ou un mini-Monaco, conteste Jean-Pierre Tuveri, leader sans étiquette de l'opposition municipale. Le golfe de Saint-Tropez est semi-fermé et déjà saturé. Nous n'avons pas besoin d'un garage à bateaux supplémentaire." L'adversaire du projet fait également valoir les menaces écologiques qui pèsent sur la flore sous-marine, notamment les herbiers (protégés) de posidonie. "Il n'y aura pas de retombées économiques pour les chantiers locaux, poursuit-il. Ces bateaux appartiennent à des sociétés basées dans des paradis fiscaux qui les louent une fortune, jusqu'à 200 000 euros la semaine, à de riches clients. Leurs propriétaires iront les réparer dans des pays à faible coût." Jean-Pierre Tuveri s'est promené sur le vieux port : sur les 22 yachts amarrés pour l'été, 12 sont immatriculés aux îles Caïmans.

Article publié le 20 Juillet 2007;
Par Benoît Hopquin
Source : LE MONDE

Var-Matin dimanche 8 juillet 2007:

"Qui ça gêne?

En mairie, on l'avoue des dysfonctionnements dans les services ont fait que la réalisation urgente des futurs locaux de vidéosurveillance du parking du port a débuté sans déclaration de travaux, ni de permis de construire.

" On va régulariser " rassure Jean-Michel Couve qui n'a reçu aucune plainte des services de l'Etat (on est sur le domaine public maritime), ni des pompiers sur le terrain desquels empiète le chantier. Seul Alain Spada monte au créneau et dénonce cette situation..."

Tout le monde avait bien remarqué depuis le mois de juin cette construction, intéressante car faite rapidement tout en bois et recouverte de tuiles, d'une superficie d'au moins 300m2 avec un étage.
Sur les barrières qui entourent le chantier aucun permis de construire n'est affiché.

C'est une situation à laquelle on est devenu habitué à Saint-Tropez où l'on voit de plus en plus les permis affichés alors que les chantiers sont terminés, ou des autorisations de transformations  pour une restructuration intérieure par exemple qui en fait cachent des travaux de démolition, surélavation, ouverture de fenêtres, skydomes,  baies vitrées coulissantes etc...travaux qui auparavant ne pouvaient s'effectuer qu'avec un permis de construire et une autorisation de l'architecte des Bâtiments de France.

Pour ce bâtiment de plus de 300 m² destiné à remplacer l’algéco du parking, aucun permis n’aurait été déposé par la commune. Les services de l’Etat, propriétaire du terrain situé sur le DPM, n’auraient pas été consultés. La construction empiète sur le terrain de la caserne des pompiers sans l’accord du SDIS.

Mais " On va régulariser ". Il serait étonnant que l'on fasse détruire au bulldozer un si bel édifice comme dans l'affaire Millau pour laquelle nous avons trouvé quelques articles sur le net comme ce "petit conte tropézien".